Une représentation du bestiaire imaginaire de l’artiste japonaise Keiko Machida, qui nous conte ses micro-narrations : » Autour de la mémoire d’un lieu, je ramasse des éléments physique comme l’odeur, le toucher et la lumière, puis les consigne, en les réactivant avec des objets qui leur sont liés. Le plus souvent, ce sont des paysages d’ici ou du Japon d’où je viens qui m’évoquent certains sentiments ou émotions vécus dans l’enfance. «